- L’effondrement de FTX a incité d’autres entreprises de cryptographie à essayer d’accroître la confiance en promettant plus de transparence.
- Binance et plusieurs autres rivaux ont promu la preuve des réserves comme solution.
- Les experts ne sont pas si sûrs que la preuve des réserves soit suffisante pour restaurer la confiance dans les échanges cryptographiques.
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L’effondrement de FTX a renforcé l’examen minutieux de la capacité des entreprises de crypto-monnaie à payer lorsque les clients paniquent, et les chefs de file de l’industrie ont présenté la “preuve de réserves” comme un moyen de renforcer la confiance.
Mais les experts ne sont pas sûrs que ce soit suffisant car la faillite de FTX a mis au jour un éventail de risques de contrepartie qui sillonnent le secteur.
Binance, qui est le plus grand échange cryptographique au monde en termes de volume de transactions, s’est engagé à effectuer une preuve de réserves, comme l’ont fait plusieurs autres échanges. Le PDG de Binance, Changpeng Zhao, a déclaré que cela favoriserait une “transparence totale” entre les bourses et leurs clients.
Qu’est-ce qu’une preuve de réserves ?
Un tiers procède à une preuve des réserves, qui vise essentiellement à confirmer que les avoirs déclarés sont bien là. Cela pourrait montrer en détail où se trouvent les actifs d’un client et où ils ont été.
Mais bien que la preuve des réserves puisse montrer aux clients que leur argent est toujours sur leurs comptes et qu’il n’a pas été prêté, cela ne tient pas compte de l’image complète.
The problem, experts say, is that clients often won’t be privy to key risks, as proof of reserves only serves as a brief snapshot that can be misleading.
Here’s the catch with proof of reserves
“Proof of reserves has emerged as a cunning way to save crypto, but it has two major flaws,” Martin Hiesboeck, head of blockchain and crypto research at Uphold, told Insider.
First, it shows balances at one specific point in time but doesn’t account for any in-and-out movement of assets that would produce a momentary balance.
For example, Hiesboeck pointed to a recent incident with Crypto.com, which said earlier this month it accidentally transferred $400 million worth of cryptocurrencies to a different exchange before recovering it. Some skeptics said such transfers could bolster proof of reserves.
Second, a glaring gap in proof of reserves is the absence of liabilities, which make the assets look misleading, according to Hiesboeck.
“Have you ever seen a company balance sheet not including the liabilities? The picture would be incomplete,” he said.
In addition, proof of reserves is still limited in its ability to say whether customer funds have been commingled with company funds or whether there are any off-balance-sheet liabilities, according to Ahmed Ismail, CEO of liquidity aggregator Fluid.
Instead, firms should seek to guarantee user funds and deposits, similar to the way retail bank deposits are guaranteed in traditional finance, he said.
Merkle tree proof of reserves
Another possible solution that’s been touted is a Merkle tree proof of reserves, which work in real time. A Merkle tree is a data structure that encodes blockchain transactions more securely, tracking assets from their origin to their destination.
But while it promises “tamper-proof” security, exchanges can still just as easily put client money in danger by lending to riskier borrowers.
“Even such tracking won’t prevent the exchanges/custodian solutions from giving the funds to unvetted borrowers who might be unable to repay the loan,” said Rishabh Gupta, director of operations at TDeFi. “For such incidents, governance comes into action that will ensure the proper usage of funds.”
L’effondrement de FTX a renforcé l’examen minutieux de la capacité des entreprises de crypto-monnaie à payer lorsque les clients paniquent, et les chefs de file de l’industrie ont présenté la “preuve de réserves” comme un moyen de renforcer la confiance.
